Andrea Bonatta
Discografia
BRAHMS
– Sonata Op.1
– Sonata Op.2
– Scherzo Op.4
ffff/Télérama,
4 Diapason
«Cette clarté dans une coloris pourtant sombre, et une respiration conductrice, lisible et calme toujours » (Diapason)
« Le pianiste Andrea Bonatta s’en acquitte avec profondeur et versatlité tout along de cinq grandes heures de musique, réunies en un coffret » (Le Quotidien)
– Sonate Op.5
– Variazioni su un Tema di Schumann Op.9
– Variazioni su un Tema Ungherese Op.21 n.2
“La nobiltà e l’accuratezza di queste interpretazioni meritano tutta l’ammirazione. Che un pianista italiano sappia impostare un’integrale brahmsiana senza sfigurare nemmeno di fronte ai sommi è cosa che ci fa piacere e ci inorgoglisce, tanto più che le recensioni internazionali di Bonatta sono state assai favorevoli e talvolta entusiastiche” (Piero Rattalino, Musica)
BRAHMS
– Ballade Op.10
– Variazioni su un proprio Tema Op.21 n.1
– Variazioni su un Tema di Händel Op.24
“The forth Ballade particulary has an almost trascendental quality, mached by the richness of tone and clarity of sound” (American Record Guide)
“Perfecto legato (magnifico el tema de las Variaciones op.21)…Una interpretación llena de frescura y capacidad de comunicar” (Scherzo)
– Variazioni su un Tema di Paganini Op.35
– Klavierstücke Op.76
– Rapsodie Op.79
« Une contribution essentielle à la discographie brahmsienne » (Choc, Le Monde de la Musique)
« Voilà bien longtemps qu’on n’avait entendu dans Brahms un son aussi brumeusement poétique » (9 de Répertoire)
« Le pianiste italien Andrea Bonatta nous a déjà donné des disques Brahms fermement dessinés…On y retrouve cette narration à mi-chemin entre rêve et réalité dont Bonatta a su percer le secret…Un disque Brahms mieux qu’inspiré: inspirant » (Télérama)
« Seul Andrea Bonatta parvient à conjuguer dans cette page la grâce et le sentiment intime, dans le strict respect des indications du compositeur…Un version excellente par sa probité » (9 de Répertoire)
– Fantasien Op.116
– Intermezzi Op.117
– Klavierstücke Op.118
– Klavierstücke Op.119
« Le pianiste italien Andrea Bonatta nous a déjà donné des disques Brahms fermement dessinés…On y retrouve cette narration à mi-chemin entre rêve et réalité dont Bonatta a su percer le secret…Un disque Brahms mieux qu’inspiré: inspirant » (Télérama)
«Seul Andrea Bonatta parvient à conjuguer dans cette page la grâce et le sentiment intime, dans le strict respect des indications du compositeur…Un version excellente par sa probité» (Répertoire)
– Harmonies Poétiques et Religieuses *Funérailles*
– Consolations
(Beste CD des Jahres /Tasteninstrumente/ Neue Musikzeitung)
“Die märklich tiefe Beschäftigung mit Liszts Klavierliteratur paart sich mit hohem pianistischen Können und einem bisweilen geradezu mystischen Verstehen“ (NMZ)
« Voici, sans nul doute l’une des parutions lisztiennes les plus étonnantes…Il a tout compris de cette musique…il a su en traduire toute la tension et le mouvement intérieur : c’est énorme » (Choc, Le monde de la Musique)
« Andrea Bonatta est un authentique poéte qui sai trouver dans chaque pièce ce qu’elle a de plus rare » (4 Diapason)
– Ultimi pezzi per pianoforte *Elegie*
« Sans doute le plus beau disque consacré au dernier Liszt » (Compact)
« C’est tout un monde étrange que Bonatta parvient à créer et à habiter, tant son intelligence musicale est aigue. Son percours, dans les années qui viennent, sera décidément des plus passionnants à suivre » (Choc, Le Monde de la Musique)
« Raccomando caldamente il disco, il cui contenuto è di altissimo valore, con esecuzioni stilisticamente impeccabili ed esteticamente calibratissime “(Piero Rattalino, Musica)
« Pour qui aime Liszt, méditer sur un tel disque est une nécessité absolute » (9 de Répertoire)
« Sonorité puissante, majestueuse, plaine d’ombres et de perspectives fantasmatiques… Andrea Bonatta nous donne l’une des plus belles anthologies du genre » (4 Diapason)
– Sonata per pianoforte e violino Op.78
– Sonata per pianoforte e violino Op.100
– Sonata per pianoforte e violino Op.108 (Vl. Marie-Annik Nicolas)
« Le pianiste est un accompagnateur idéal. Il déploie un jeu d’un superbe héroisme, magnifie les détails d’écriture, et survole ces œuvres d’un souffle ferme et parfaitement soutenu. Un des sommets de la discographie » (Expressions)
« Ihren erfüllten Tönen , ihrer zuverlässigen, unaufdringlichen Technik steht der Pianist nicht nach – er kann auf klangliche Härten verzichten, weil seine Gestaltung Konturen hat » (Fono Forum)
– Pezzi per pianoforte a 4 mani (Fantasia, Rondò, Variazioni Op.10, Marce Militari, Grandi Marce) con Paul Badura-Skoda
« Badura-Skoda et Bonatta dramatisent le discours de la Fantasie en fa mineur en reserrant le tempo, en accentuant les oppositions de nuances… une vision qui est conduite avec une sûreté et une intelligence rares » (Crescendo)
« Badura-Skoda et Bonatta, parfaitement complices, prennent plaisir à construire un ensemble ludique et très distingué…Un excellent disque » (Repertoire)
“Talento, salda professionalità ed una esperta misura espressiva… austera e poetica nobiltà… autorevolezza e grande successo”
(Corriere della Sera, Roma)
“An immense pianistic and intellectual challenge… impressive skill…the innate drama and admirable romantic vision were splendidly conveyed”
(The Age, Melbourne)
“Ein hervorragender Pianist… Ein Künstler wir Bonatta veredelt auch schwächere Kompositionen“
(Die Welt, Hamburg)
“Un poeta del piano es el concertista Andrea Bonatta…Este pianista imprima a cada pieza el sello de su personalidad inspirada e inspira dora”
(El Mercurio, Santiago de Chile)
“Virtuos, mit Sinn für Form und Klang des Werkes spielte er die “Bénédiction de Dieu“ aus Liszts „Harmonies“, wie ein doppeltes Glaubenbekenntnis, religiös wie romantisch, voller magischer Momente“
(WAZ, Essen)
“Bonatta is een stilist tot in perfecctie, zowel qua vormgeving als in zijn spel. Het touché van de Italiaanse maestro is fluwelig an stijl an intimiteit gaan consequent voor luidruchtig vertoon”
(Utrechts Nieuwsblad, Utrecht)
“Andrea Bonatta in der Weimarer Altenburg…Echtheit der Empfindungen…Eindrucksvoll… am großartigsten war die Wirkung wohl bei Liszts Trauervorspiel und bei Busonis Sonatina Seconda”
(Weimarer Allgemeine, Weimar)
“Un concerto che difficilmente potrà essere dimenticato… miracolosa l`esattezza delle esecuzioni e la purezza cristallina del tocco…mente lucida e grande interiorità, uso accorto e nobilissimo del pedale, una lettura approfondita, quasi una filologia del documento musicale”
(Corriere del Mezzogiorno, Messina)